Théâtre

Un atelier de tailleur. Ici, on préfère le travail artisanal au travail à la chaîne, des centaines de mètres de tissu, une danse de machines à coudre, puis, par ci par là, une petite trace de naphtaline. Dehors, des gens grands, fins, gros, petits, penchés, asymétriques et rabotés défilent. Parfois quelqu’un frappe à la porte. Pour une retouche ou pour un bouton perdu. Ou pour quelque chose de « personnalisé, s’il vous plaît » ? Dans un monde obnubilé par la beauté bien lissée et déridée, Studio ORKA nous parle de ceux qui ne trouvent pas d’habit à leur taille. Car ils luttent contre eux-mêmes, se battent avec ce qu’ils veulent être . Un récit qui montre comment un extérieur parfait dans l’apparence peut cacher un malheur grinçant à l’intérieur. Ou comment un idéal de beauté peut faire un mal fou.

"If you at first don't succeed, failure may be your style."

« Der menschenfresser Berg… » ou « La Montagne » (titre provisoire) raconte une quête : l’adaptation par une compagnie de théâtre de rue d’un film allemand des années 30 sur une expédition en haute montagne.

Un tragico-psycho comédie de Franck Didier

Un spectacle inter-générationnel à partir de 8 ans.

Recherche sur le rapport qu'entretient notre génération avec l'amour

"Je me caresse la mimi et je me dis que ça va peut-être me donner l'inspiration." Katimini, un projet qui s'inspire de documentaires animaliers, des Pussy Riot et de Lady Gaga.

Il n’y a pas de temps. "Zeitlost", écrivait Freud, l’inconscient ignore le temps, la causalité et le principe d’identité. "Hors temps", ça signifie que tout instant est connecté à tout autre temps sur une ligne de fracture qui fait se relier tous les sens d’une vie. Pas de différence, pas de sexes, pas de temps; barbarie pure de l’inconscient. Un seul sexe béant, homme femme, comme il apparaît dans les rêves, ensuite naît la différence, qui sépare là où c’était confondu, cet inimaginable magma, ce chaos premier. (DUFOURMANTELLE Anne - La sauvagerie maternelle, Paris: Payot & Rivages, 2001)

"Tirer sur l’oie", "shoot the goose", signifie à la fois faire du tir au pigeon mais aussi aller gentiment se masturber.

Vais-je un jour avoir une idée révolutionnaire ? Pourquoi ai-je toujours une peluche dans le nombril ? Pensez-vous que dans la tête de certaines personnes il ne se passe vraiment rien ? Pourquoi est-ce que j'aime tant dormir ? Ernesto sera-t-il toujours là pour moi? Nino va-t-il mourir avant moi ?